A propos

L’univers de l’art, de la sculpture en bronze par l’artiste Moline

Moline est issu d’une famille dont le père a toujours eu des liens affectifs très forts avec l’art. Depuis son plus jeune âge, son père tente de lui ouvrir les yeux et l’esprit par le biais de l’art, de la peinture, de la sculpture, de la gravure, des netsukes … À ce moment-là, Moline n’est encore que spectateur. Dans les années 90, il fait un passage à l’École des Beaux-arts. Ensuite, il crée, mais ce qu’il produit ne le décide pas à prendre la direction de la création artistique.

Naissance d’un artiste sculpteur

Son père, qu’il adore, tombe dans une longue maladie. Il reconsidère alors l’ensemble de ses fondamentaux. Après plusieurs séances de modelage de terre avec une artiste, il décide de créer Léon.  En premier lieu, l’artiste veut créer un personnage qu’il souhaite agréable à regarder. Mais il a conscience que Léon est aussi une sorte d’autoportrait. Moline dit s’enfermer dans une fenêtre qui est constituée de paramètres comme la simplicité et la symbolique. Pour ses personnages « japano-parisien » amusants et pleins de sens, il tente d’ajouter à Léon un petit côté japonais, sans lui enlever l’identité française.

L’histoire de son nom d’artiste « Moline » par le peintre CHANCO

Pendant des années, Moline tisse un lien fort par une correspondance régulière avec le peintre Roland CHANCO. Il lui montre son travail. Celui-ci le trouve intéressant et l’incite à continuer … C’est à ce moment-là que CHANCO le baptise « Moline ».

La transversalité avec Dieu, les matériaux utilisés inaltérables, la notion du temps et le côté mystique

Au fond de lui, Moline est persuadé que tout prend naissance grâce à Dieu et qu’inévitablement tout revient à lui, à court ou à long terme. C’est ainsi qu’il comprend le symbole de l’Alpha et l’Oméga. Ce que Dieu donne d’une main, il peut le reprendre quand bon lui semble.

Moline, qui se considère avant tout comme un croyant, aborde ses sculptures en pensant qu’il n’est qu’un simple instrument. Mais son geste de sculpteur, il le met aussi en relation avec l’acte créateur de Dieu. Il s’applique d’ailleurs à sculpter sur des matériaux jugés inaltérables avec le temps, le bronze, la céramique… Sur certains modèles, il rajoute de l’or massif, tel le nez de Léon.

Moline aime aussi ce qui a trait aux mystères, aux choses cachées ou secrètes, il aime introduire des signes, des nombres, …

 

Série originale de 8 bronzes référencés BRefArt

LA SCULPTURE INTITULÉE « LÉON » PAR MOLINE.

Je vous présente ici une œuvre qui est composée d’une chronologie de quatre bronzes.

Une série originale :

La série de bronze intitulée “Léon” originale de huit exemplaires plus quatre Épreuves d’Artiste est composée de quatre séries différentes, qui forment une histoire. La série signée sur le pied droit de Léon, poinçonnée Fonderie de Bronze Lauragaise, est aussi référencée BrefArt.

Léon :

Moline tente de s’exprimer sur les formes de Léon biens arrondies, sur l’expression du personnage et introduit des symboles, nombres, des mesures …

Moline donne un aspect amusant à Léon pour démontrer que rien ne se voit, mais que tout se vit de l’intérieur. Ce qui n’empêche pas de transcrire toutes les émotions, cette expérience de vie forte qui est parfois négative, sur sa sculpture. Pour cela, il oriente sa sculpture de façon à intégrer de nombreux éléments de vie.

 

Techniques employées.

La technique employée pour la série de bronzes est celle de la cire perdue. Moline est présent à toutes les étapes, il corrige la cire, la ciselure, la patine, il peint,…

 

Bien à vous,
Moline.